Certains nous ont déjà fourni leur présentation que nous vous invitons à découvrir en cliquant sur leur nom.
Stéphane Barboiron
Né en avril 1969 à CAEN (Calvados) .
Autodidacte
Pratique la sculpture depuis l’age de 7 ans
Affilié Maison des Artistes
Artiste libre et indépendant
Travail sur commande
intervenant art plastique
Du dessin je suis passé rapidement au volume, comme une évidence, ça arrive comme un flash, l’univers m’envoie les images et la main, l’outil matérialisent.
je construit mes œuvres avec une charge symbolique, un étrange d’équilibre des sens qui ne tient qu’à un fil, matière vibrante vivante avec la pierre : l’eau comme le fer esprit intemporel énergie immortel : le feu
Forme d’expression "Engager" donnant la vision de l’environnement industrialisé dans lequel nous nous encombrons.
Cela donne la possibilité de parfaire les messages d’empathies, de soins et d’amours que nous devons à notre Terre Mère (GAÏA)
Redonner une âme, un sens à ces matériaux soit disant inutiles, est un défi que l’Art résout avec légèreté, tendresse et humour.
Ne plus considérer ces matériaux comme des déchés, mais comme des alliés de sources renouvelables jusqu’à leur fin temporel, est l’acte résistant participant à la régénération de
notre univers.
Le regard des consciences sur l’œuvre permet d’ouvrir les âmes à un autre paradigme.
La diversité des matériaux ferrique ou inoxydable ouvre un champs créatif varié et adaptatif au gréè des vibrations passagères.
Dans le champs des possibles tout est a fer !
Site internet : https://sbarboiron3.wixsite.com/stephaneb-sculpteur
Dominig Le Cadre
Né à Vannes, je vis en Bretagne. Ferronnier d’art, sculpteur sur fer de profession.
Je quitte le lycée Bertrand Dugesclin à Auray le c.a.p. en poche. Il faut vivre...Direction les chantiers navals, charpentier fer, soudeur.
Mais les arts reprennent le dessus, direction Paris. Un atelier aux références prestigieuses
"Hermès - Yves Saint Laurent" m’ouvre ses portes, fabrication d’enseignes, luminaires, mobilier,
Le bonheur.
Aujourd’hui j’ai posé mes valises, mais l’envie est toujours là...
Créer... Quel plaisir !
Pierrick Colas
Note de ma démarche artistique
Mes voyages ont souvent été l’élément déclencheur d’une création plastique, une source d’inspiration, un point de départ pour une aventure vers l’autre. Mais un autre différent, singulier et non pas exotique.Ce sont à chaque fois des voyages qui ont comme valeur un témoignage plastique de rencontres avec l’humanité. Ces voyages en Afrique, en Asie, ou en Amérique du Sud sont probablement pour moi un moyen de retrouver mes racines intérieures, mon arbre archaïque.
En tant que plasticien, je choisis des matériaux que notre société fournit avec générosité. J’utilise tous ces éléments pour diriger mon idée, je les réorganise, je leur attribue de nouvelles formes ou de nouvelles significations, ainsi ces déchets retrouvent une nouvelle vie et une autre valeur.
Je souhaite ainsi mettre en évidence les enjeux, culturel, écologique, social de notre époque. je me nourris des faits sociétaux pour les traduire par la matière et la forme qui me parais le plus juste avec humour et poésie. Mes œuvres se lient avec des références du monde, des référence à l’histoire de l’art.
Depuis plusieurs années je travaille avec des matériaux récupérés pour leur donner une nouvelle vie. J’utilise notamment la tôle de voiture et les structures métalliques cachées sous la carrosserie. Celles-ci m’inspirent par leurs formes diverses ovales ou triangulaires, prédéfinies telles des traits de crayons qui auraient servi à une esquisse. Avec elles je construis à mon tour un dessin dans l’espace, en volume. C’est tout un bestiaire fantastique qui est venu occuper mon esprit.
De cette contemplation du monde sont sortis tour à tour, une araignée, un renard, un lion, un rhinocéros, un loup… autant de héros de fables plus contemporaines.
Ma technique de la tôle découpée de voitures me permet de jouer avec les formes et les couleurs, ce que j’appelle de la sculpture peinture.
Guy Colin
Artiste plasticien
Héritier des collagistes et du mouvement de l’assemblage, je tente de composer un univers poétique et esthétique personnel. Mes recherches actuelles s’orientent sur le transfert de collages numériques et de photos recomposées sur des supports métalliques .
Cette série ”Post-Pictum” trouve son équilibre dans les oppositions : des représentations d’icônes poétiques dans des univers hostiles, des symboles multiples dans une composition sobre, des madones du quattrocento côtoient des muses contemporaines, les matériaux nobles s’allient aux rebuts, les technologies modernes conversent avec les procédés traditionnels, l’harmonie est défiée par la déchirure, la grâce s’oppose aux mauvais augures…
Ces amalgames de visages, de silhouettes de toutes époques, d’objets, d’écrits, de graffitis, veulent donner une nouvelle actualité et un nouveau sens à ces anachronismes.
Les media et techniques utilisés sont : le dessin, la photo, le collage numérique, le transfert , la peinture acrylique, les pigments métalliques, les patines . Le cadre est une structure métallique polyptique réalisée par mes soins et faisant partie intégrante de l’oeuvre.
Anne Cotten
Anne Métal Concept.
J’ai toujours été admirative des personnes sachant créer de leurs mains. Je suis également sensible à l’esthétique des objets. Mon grand-père, qui a connu la guerre, m’a sensibilisée, dès mon plus jeune âge, au fait de ne pas gaspiller. Or dans l’atelier de mon conjoint, exerçant dans la mécanique, je voyais beaucoup de pièces de voiture partir à la ferraille. Je trouvais ça dommage car pour moi elles avaient une certaine beauté. Quand je le lui faisais remarquer, il me disait en plaisantant : « On ne va quand même pas les mettre dans notre salon ? » Et pourquoi pas !!!
Après m’être réorientée et formée à la soudure, j’ai eu l’idée de créer des lampes, des tables, des sculptures, de la décoration voire même un salon…. avec ces pièces de récupération et ainsi leur donner une seconde vie.
Voici comment Anne Métal Concept est née.

Gwendoline Dolbeault-Bezat
Dans le fil de mon existence je découvre les possibilités extraordinaires du fil électrique.
C’est dans la poésie, le symbolisme, la mythologie et la nature que j’exprime mon art et ma culture. Soucieux de la matière rejetée par l’humain, je porte réflexion en leur donnant une seconde vie.
Née à Lorient, j’ai bénéficié d’une éducation très imprégné par la culture celtique et bretonne. J’ai eu un parcours professionnel et bénévole dans l’éducation populaire, ainsi que mes formations auprès de graphistes, de plasticiens, de sculpteurs et de soudeur ont fait évoluer ma créativité artistique.
C’est en 2014 que je m’inscris à la maison des artistes pour exposer mes œuvres sur les courants Naifs, Figuratifs, animaliers ou Contemporains.
Laura Faisnel
Eco-créatrice et véritable adepte du recyclage en tout genre, Malo recycle, détourne et redonne vie à des objets métalliques anciens et abandonnés du quotidien, afin de créer des œuvres uniques et insolites qui égayeront le jardin et la maison !
En passant par de vieux outils, pièces automobiles, bouteilles de gaz et autres métaux, La Fabrique de Malo vous emmène dans son univers s’inspirant de la nature qui nous entoure et de la faune qu’elle abrite !
Ces créations essentiellement soudées à l’arc sont un véritable clin d’œil à l’upcycling et se détournent de la surconsommation et du monde du jetable !
Virginie Gribouilli
L’artiste sculpteure Virginie Gribouilli a terminé ses études en arts appliqués en 2004, avec une mention spéciale en illustration. En 2010, le besoin de faire naître des créatures l’amène naturellement vers la sculpture figurative et elle travaille le papier mâché. C’est à partir de 2018 qu’elle réalise que ce qui la fascine le plus c’est la silhouette, le dessin à travers la forme.
Elle s’intéresse particulièrement aux squelettes d’animaux, l’essence même de la construction, l’échafaudage de la vie, et grâce à la découverte de la porcelaine froide qu’elle modèle sur du fil de fer, elle a pu acquérir la finesse qu’elle recherchait.
Depuis 2021, elle a axé son travail sur la création d’une mythologie. Elle créé une nouvelle esthétique mêlant la force organique de la nature qu’elle fusionne avec notre monde mécanisé et industrialisé d’humains, pour créer des divinités hybrides
hiératiques et expressives, des créations d’une hypothétique civilisation future.
Mïa Guillon
Bijoutière diplômée en Bijouterie Joaillerie. Mes créations sont inspirées de la Nature et de mon métissage qui est Guadeloupéen et Breton.
Gwadarmor Bijouterie existe depuis Mai 2021. J’ai été formée par le meilleur ouvrier de France en Bijouterie à l’école Tané. J’ai été diplômée en 2020 et cette même année j’ai été lauréate d’un concours jugé par de grandes maisons de la bijouterie. C’est de là que vient mon savoir-faire.
J’aime croire que nous sommes entourés de trésors. C’est pourquoi après une balade, je rapporte souvent un souvenir : un galet, une graine, un coquillage, une feuille,... Ce sont ces trésors de la Nature que je cherche à sublimer dans mes bijoux.
Karine Halloucherie
Sculpteur métal, plasticienne
Art récup’
Art singulier
Née dans les Hauts de France en 1969, autodidacte et récupératrice dans l’âme !
Les évènements d’une vie, la réflexion sur soi, l’amènent à prendre conscience de son chemin de vie et choisit donc d’écouter et de suivre son âme d’artiste… elle s’oriente alors vers la sculpture métal…
Une démarche artistique autour de la création d’œuvres à partir de matériaux de récupération afin de sensibiliser le public sur l’environnement, le développement durable et l’économie circulaire.
Donner à ce public une impulsion créative et développer une sensibilité en lien avec le monde qui nous entoure. L’amener à avoir un autre regard sur nos « déchets », empreinte de notre société de surconsommation, en donnant une seconde vie aux objets par la méthode du réemploi.
Une démarche, un mouvement à la fois écologique mais aussi une expression profonde de son être dans l’espoir d’émouvoir, de toucher, de réveiller la sensibilité des âmes et des esprits créatifs.
https://www.karine-halloucherie.fr/
facebook.com/Karine Halloucherie
Instagram/Karine Halloucherie
Karmax
Karmax est le résultat du travail de deux artistes associés, Carole Petit et Maxime Hurgon.
De nos arts naissent des œuvres écorchées, colorées, oniriques.
Nous dénonçons avec tendresse l’anthropocène avec des créations primitives et actuelles
Nous utilisons divers matériaux (os, zinc, toile de jute, clous …) et diverses techniques (soudure, peinture, ciselage, sculpture)
Yannick Langeais
« L’Atelier Chez RY ». R pour Rose sculptrice et céramiste , Y pour Yannick qui bijoutier. Nous allions nos deux savoir faire et fabriquons dans notre atelier des bijoux en argent et céramique. Yannick utilise les techniques traditionnelles de bijouterie ainsi que la fonte à la cire perdue pour réaliser ses bijoux en argent. Rose travaille la porcelaine et le grès noir mat en haute température. De cette fusion naissent des créations originales et uniques
Hugues Le Baron
Sculpteur
Suite à plusieurs années de travail en conservation de patrimoine, durant lesquelles j’ai eu le plaisir d’intervenir sur des œuvres majeures ayant vu le jour durant les grands siècles de l’ébénisterie, la première étape d’un développement personnel a été franchie en quittant ce milieu qui m’était cher afin de devenir créateur et non plus restaurateur. Il était temps pour moi d’arrêter de lire et de me mettre à écrire.
Une première marche vers une ascension artistique avait été gravie. Un gigantesque escalier sillonnait une montagne titanesque, chaque marche symbolisant un développement technique, créatif, philosophique et spirituel.
Je maîtrisais alors toutes les techniques de travail permettant de façonner le bois, la sculpture, le tournage, la marqueterie, mais toutes les réalisations de cette époque manquaient bien trop d’audace à mon goût et ne révélaient qu’une volonté de mettre mes compétences à profit. Mon travail en scénographie m’a permis de prendre bien plus d’aisance dans la découverte des autres matières, de découvrir d’autres médiums, les réalisations étant bien moins soumises aux regards et aux jugements perfectionnistes. Le travail est éphémère, et dissimulé dans un univers où fumées et obscurité deviennent de précieux alliés. L’attention du public est captée principalement par les acteurs mis en scène et se montre plus indulgente envers les décors élaborés.
J’ai alors expérimenté le travail des résines synthétiques, via le modelage et le moulage, ainsi que le métal qui fut une véritable porte ouverte pour moi. J’y ai vu une matière dont l’approche technique s’opposait totalement à tout ce que je connaissais alors. La soudure me permettait de coller des pièces entre elles en apportant de la matière, chose impensable avec le bois. La forge offre la possibilité de façonner le métal à notre guise quand le bois nécessite des mises en œuvre fastidieuses pour un simple cintrage.
Quelques marches supplémentaires franchies, un voile de brume se dissipe et laisse entrevoir un nouveau sentier au travers des pics escarpés de la montagne du devenir.
La matière première abonde. Le manque d’argent me pousse à mettre les doigts dans la mécanique pour répondre à la nécessité, me guidant vers une forme d’autonomie. Je découvre mon médium dans le cœur de la technologie moderne. Les pièces mécaniques offrent une myriade de formes, de textures et de brillances qui me rappellent la richesse des essences et grains du bois, les ronces d’acajou, les loupes d’orme, l’érable pommelé et les moirures du citronnier. Notre époque regorge de cette matière chez les ferrailleurs recycleurs, les casses et les déchetteries, jusque dans les campagnes où les terres non cultivées sont fréquemment transformées en cimetières d’épaves n’attendant qu’une étincelle de créativité pour reprendre vie.
Plus on arpente, et plus la fraîcheur des altitudes nous assaille. Mais ce froid est revigorant pour les âmes solides, enivrant pour les esprits curieux. Plus on apprend, plus on découvre, et plus on se rend compte de l’ampleur de ce qu’il y a à découvrir. L’écho du "ce que je sais, c’est que je ne sais rien" que Socrate répondit à l’oracle de Delphes, résonne dans l’immensité des montagnes.
Mon intérêt pour la philosophie me fournit toutes les sources d’inspiration dont j’ai besoin. Mieux ! Je n’ai aucun scrupule à me servir dans les concepts du passé. Trois mille ans d’histoire philosophique m’amènent à constater que nous ne faisons que réinterpréter, recontextualiser et moderniser des concepts qui semblent avoir toujours existé de pair avec l’esprit humain. Il ne s’agit pas pour moi d’inventer, mais de choisir, un « ready-made » à la Duchamp. Nous ne créons rien, nous ne faisons que piocher et transformer. Cela est valable pour la matière, comme nous l’apprend un physicien du 20ème siècle, et selon moi l’est tout autant pour les idées. Mais chut ! L’artiste a besoin de croire qu’il invente, qu’il créé, cela est indispensable à son art.
Je vois l’artiste comme un enfant, qui ne cherche pas à devenir adulte, il l’a déjà été, mais à rendre l’humanité enfant.
Un regard en arrière me fait prendre conscience du peu de marches gravies, du maigre chemin parcouru, un travail de plusieurs années pour briser quelques chaînes, et l’infini devant moi, tout reste à créer, tout reste à découvrir... C’est ça la liberté.
Joël Le Floch
Ancien homme de lettres à Paris (Postier) et également passionné d’Histoire et de Mythologie, je me lance dans la sculpture métal après être miraculeusement sorti d’un amas de ferraille, vivant, mais cabossé, victime d’un chauffard.
Aujourd’hui, je chauffe et soude le fer, l’acier, le cuivre, le bronze en créant du Fantastique et du Figuratif.
Depuis 20 ans, une centaine d’expos sur toute la France et de nombreuses créations à l’étranger notamment à Washington, à la Maison Blanche
Alain Le Jeune
J’ai débuté mon activité de fabricant de girouettes en 2021, après une carrière de couvreur. J’ai suivi une formation de quelques jours avec un maître artisan. J’ai ensuite appris la technique du repoussage.
Je fabrique toutes les pièces dans mon atelier, à partir d’une feuille de cuivre et de tubes de laiton. Le client peut choisir un modèle exposé, ou amener un dessin ou une photo que je reproduis.
Atelier de girouettes
30 rue du port
22260 PONTRIEUX
Fred Lenoir
J’ai débuté la sculpture , suite à un stage de soudure, offert par mon épouse pour mes 40 ans. J’ai eu la chance d’effectuer ce stage chez Pépito Espin Anadon et ce dernier m’a encouragé à persévérer dans la création.
Une passion était née et de fil « de fer » en aiguille, des personnes m’ont invité à faire
découvrir mes créations, j’ai notamment participé au Festival Breuil’art à Caen en mai 2018. Ma famille et mes amis ont aussi beaucoup compté au cours de ces années et aujourd’hui, j’ai la chance d’exposer mes sculptures dans des lieux magnifiques dédié à l’Art mais aussi de participer à de nombreux Festivals.
J’aime découvrir une pièce au milieu d’un « tas de ferraille » et c’est son aspect qui détermine le sens de ma création. J’aime transformer des rebuts en beaux objets. Dans cette société de consommation où tout va trop vite et qui génère beaucoup de déchets, je recycle à ma manière. Je tente, par l’intermédiaire de mes créations, de sensibiliser le public à la préservation de notre planète et de ses ressources.
Ismaël Maudet



Dans cette série de sculpture animalière, l’exercice est de traduire le vivant en mouvement à partir d’une matière froide et inerte qu’est l’acier.
Au chalumeau, chaque sculpture est un jeu aléatoire d’assemblage, de coulures et de micro-accidents.
L’idée est de se laisser surprendre, de ne pas tout maîtriser.
Je réalise également des œuvres monumentales pour l’espace public.
Kelly Morvan

Je créée des bijoux de corps et de cheveux à partir d’acier inoxydable et de laiton, sur lesquels je viens monter des pierres semi-précieuses et des plumes naturelles.
Mon produit principal est le bijou de tête ou Head band. Mon but et d’utiliser au maximum des matières bruts afin de créer des bijoux fins et délicats...
Om Drum

Artisans créateurs de percussions en métal,nous serons présents a TA-KA-FER pour vous présenter notre passion, en restant fidèles à nos valeurs, telles que la nature et le bien-être. Nos instruments insolites, intuitifs et vibratoires sont accordés sur les fréquences terrestres du bien-être pour prendre un moment pour soi, profiter pleinement de l’instant présent, ou tout simplement pour partager cette musique aux sonorités apaisantes.
Bruno Pansart
pour les ateliers Borgniol.
" Du créatif avec du vieux ! Grâce à certains plasticiens et artisans, fini le gaspi ! Bruno Pansart artiste créateur donne une seconde vie à nos déchets ménagers et industriels. A la clef un détournement artistique, une création harmonieuse d’objets étonnants à partir de la récup ! Je fais en plus un véritable travail de relookage et de détournement des matériaux récupérés pour en faire de nouveaux objets de décoration. Des créations originales et uniques. "
Reconnu par la maison des artistes depuis janvier 2005.
Élève d’une école d’art pendant plusieurs années.
Coresponsable d’une galerie d’art associative à Montmartre (Paris) de 2002 à 2010.
Membre de plusieurs associations d’artistes.
Aujourd’hui coorganisateur de salons sur les communes de Tréguier, St Quay Portrieux, Etables-Binic, Lézardrieux, Pléneuf-Val-André et Lamballe-Armor.
Cocréateur de l’événement "Les Soudeurs du soir" au Haras de Lamballe-Armor.
65 artistes sur un weekend d’octobre pour un public de plus 10000 visiteurs depuis quatre ans.
(Rayonnement national pour les intervenants et les visiteurs)
Grâce à certains plasticiens et artisans, fini le gaspi !
Bruno PANSART artiste créateur donne une seconde vie à nos déchets ménagers. A la clef un détournement artistique, une création harmonieuse à partir de la récup d’objets étonnants !
Je fais en plus un véritable travail de relookage et de détournement des matériaux récupérés pour en faire de nouveaux objets de décoration. Des créations originales, uniques qui font mon identité artistique. Ces réalisations, sortis tout droit de mon imaginaire, fabriqués avec l’argenterie de grand-mère en sont un bel exemple. Cet assemblage de couvert en métal argenté représente l’un des maillons de notre société de consommation. Embellir le déchet pour en faire un objet de luxe comme ces couverts argentés métamorphosés en sculpture, voici un agréable paradoxe entre la sublimation du déchet et la création artistique.
Site : http://www.lesateliersborgniol.com/
Page Facebook : https://www.facebook.com/Les-Ateliers-Borgniol-161345403893409/?ref=bookmarks
Nathalie Pitel
Nathalie Pitel, née à Brest en 1986, passe son enfance en Presqu’île de Crozon. Très tôt, elle aime peindre et dessiner, et au contact de son père très manuel, elle acquiert le goût de fabriquer des objets de ses mains.
Elle est diplômée de l’Ecole des Beaux Arts de Quimper en 2010.
Jeune, elle a reçu une éducation large, imprégnée de musique, philosophie et histoire de l’art. Elle retiendra entre autres Malevitch, Mondrian, mais aussi les gravures de l’expressionnisme allemand, les peintures d’Otto Dix, et les sculptures - machines de Tinguely.
Nathalie Pitel réalise aujourd’hui des sculptures et des installations. « J’aime me confronter à une matière plus dure que moi, qui me résiste »- dit-elle. Son travail s’appuie sur des lectures philosophiques et des questionnements anthropologiques. L’essayiste français Paul Virilio fasciné par l’accélération du monde est au centre de ses recherches.
Différentes représentations apparaissent dans son travail : capots ou ailes de voitures gravées de combats d’animaux, êtres hybrides comme ses têtes d’oiseaux surmontées de bois de cerfs, installations mettant en scène des bêtes efflanquées… Par cet univers étrange elle donne un écho du chaos contemporain et se fait l’archéologue de fossiles modernes, témoins futurs de notre civilisation.
Après ses études et l’obtention de son diplôme, Nathalie Pitel fait partie d’un collectif d’artistes dans le Maine et Loire, « Centrale7 », pour ensuite s’installer dans le Morbihan où elle crée avec des artistes locaux l’association La Dent Dure. Une association qui a pour but de promouvoir l’art contemporain en milieu rural à travers des expositions, des concerts et des performances.
Elle a été invitée plusieurs fois en résidence dans des institutions culturelles. Aujourd’hui elle continue d’approfondir ses recherches et ses techniques à travers des appels à projets, des résidences, des symposiums et des expositions qui lui permettent d’évoluer et d’enrichir son travail.
Thomas Porato
Thomas Porato se définit comme un artiste−métallier−forgeron fidèle à une matière : le métal.
Forgeron aux multiples talents et inspirations, Thomas Porato réalise des œuvres défiant l’espace et les contraintes de la matière. Ses créations sont variées, mais elles adoptent très souvent des associations de formes improbables et démontre ainsi la virtuosité et l’univers décalé de l’artiste. Entre les structures pleines dévorées par des accumulations ajourées, les sphères surgissant de cubes, les cylindres libérant des pyramides, Thomas donne à voir la géométrie de son esprit.
Marc Sauget
Depuis mon enfance bretonne, je suis attiré par le dessin... D’abord Gaston Lagaffe, puis les Comics.
A l’adolescence c’est Gotlib et les Idées Noires de Franquin qui prennent le pas, et beaucoup d’autres jusqu’à aujourd’hui.
Finalement, le dessin m’a toujours accompagné.
A la trentaine je m’y met. Crayons, aquarelles, peinture. Mais je préfère le solide, le volume.
Alors je passe à l’argile, à la pierre.
Mais c’est avec le fil de fer que je retrouve le trait de crayon.
Les influences sont multiples. Le dessin, la bande dessinée, la musique beaucoup, la photo et la danse.
Je regarde , j’écoute, puis dans l’atelier, au milieu des bobines et des pinces, ce sont les mains qui entrent en jeu. Je pince, coupe, fait, défait, entortille, enroule, à la recherche d’une attitude, d’un mouvement.
Svali

Pour Svali, sculpter c’est entrer dans l’intimité d’objets abandonnés, de s’imprégner de leur histoire avant de leur donner une seconde vie. Ainsi ils deviendront porteurs d’une réflexion sur l’évolution de notre humanité, ses forces et ses faiblesses. Proche de l’art brut et des nouveaux réalistes, elle défend l’idée d’un art accessible à tous souvent facteur de résilience.
Depuis 2 ans, la rencontre avec ZOOM vient renforcer son propos. Ce petit monde minuscule, installé dans ses sculptures surprend, interpelle et propose une seconde lecture de ces créations à quatre mains.
Vicky Vanlerberghe
Vicky Vanlerberghe utilise son art pour illustrer la beauté et la fragilité de notre environnement et pour sensibiliser à la protection/préservation des espèces animales. Ses émaux d’Art vous invitent aux voyages, aux rêves et à l’imaginaire. De promenades en contemplations, Vicky s’inspire des nuances de couleurs qu’offre la nature : des bleus intenses des océans, des verts somptueux des forêts aux rouges incandescents de la terre en fusion. Les tableaux et sculptures émaillés s’inspirent du vivant et se nourrissent de la faune et de la flore. Elle conçoit et façonne ses œuvres en émaux sur cuivre, agrémentés d’or. Spécialiste de la grisaille d’Or (Réalisation de motifs à la poudre d’or sur émail avec une aiguille, technique enseignée par un moine bénédictin au Monastère de Ligugé) elle réalise surtout des portraits animaliers. La nature a donné des millions de couleurs et l’émail lui donne une façon de l’exprimer.
David Vaucelle
Je suis sculpteur sur métal je bricole également un petit peu le bois. Je pratique la sculpture depuis pas mal d’années à la base c’était pour des collègues qui partaient en retraite et depuis maintenant 5 ans je pratique uniquement que pour mon plaisir, mes sources d’inspiration sont la nature les animaux et également mon passé de styliste.
Je travaille uniquement que les matières de récup.